Comment la retraite à 55 ans pour tous peut sauver le système de retraite et réduire le chômage

La vision « plus libérale et moderne » consistant à retarder les retraites, contraindre au travail, restaurer « la valeur travail », est en réalité une vision conservatrice réductrice de la société populaire. Qui devrait au contraire rechercher à apporter toujours plus d’avantages au plus grand nombre. Une retraite plus tôt, avec une économie plus contributive, plus inclusive, une démocratie renforcée, des activités librement consenties plus épanouissantes.… Lire

L’agroécologie est l’avenir de l’humanité

L’agroécologie oui, il y a même péril en la demeure, l’agriculture manuelle, non. Et des concepts comme ceux de Pierre Rabhi ou Fermes d’avenir, de Maxime de Rostolan, posent le problème de la crédibilité de cette agroécologie en propulsant ces visions populistes au-devant de la scène. 

Le populisme est toujours un grave problème et dans ce cas précis encore plus, parce que la vision propulsée est bucolique, poétique, romantique même.Lire

IA : croyances mystiques

Il ne se passe pas un jour sans qu’un alarmiste ne nous prévienne de la volonté de l’IA de nous détruire, de détruire l’humanité sous prétexte que nous la gênerions ou même par indifférence. Et cette crainte atteint même des cerveaux comme celui de Yuval Harari avec des croyances telles qu’une prétendue dévalorisation économique de l’Homme si la machine devait prendre sa place.Lire

Chômage, retraites, tout, jusqu’à la folie, plutôt que l’évolution!

La N-VA en Belgique, les socialistes en France, tous vont dans le même sens : on est trop bien au chômage, il faut serrer la vis pour donner envie de bosser… comment peut-être assez con pour croire que de retarder l’âge de la retraite, augmenter le nombre d’heures de travail de ceux qui ont un emploi et réduire les droits des bénéficiaires du système social va créer de l’embauche?Lire

Un monde de moins en moins démocratique : La politique est une frontière que l’intérêt commun permet de franchir… 

Le magazine The Economist publie une étude de son institut d’observation de l’intelligence économique qui fait le point sur la démocratie dans le monde. Et il fait le constat qu’elle est globalement en baisse… et c’est normal ! Lire

L’économie « partagée » n’est pas -encore- positive (ni partagée, d’ailleurs) !

L’Iddri produit une étude dans laquelle il démontre que l’économie partagée ne produit pas les effets escomptés, nous dit Les Echos.

C’est normal, il manque un pan à cette économie partagée, c’est la démocratie (et aussi le respect de l’humain).Lire

Les entreprises privées ont-elles des bénéfices publics ?

Voilà qui va en faire sursauter plus d’un. Avant de sauter au plafond, comprenons-nous bien, l’économie est un échange qui va dans l’intérêt (sans jeu de mot) aussi bien de l’un que de l’autre. Sans cet échange, il n’y a pas d’économie, pas de riche, pas de patron, pas d’entreprise. On est tous aux champs à gratter la terre de nos ongles sales (à noter que je n’ai rien contre l’agriculture, qui est une véritable passion pour moi, mais ce n’est pas forcément le cas pour tout le monde).Lire

LA DÉPOLLUTION INTÉRIEURE : sortir de l’aliénation systémique

Une discussion entre Thierry Curty et Satyavir, co-présidents du #CourantConstructif.

Au programme :

00:00 Introduction
00:37 Le concept de dépollution
02:33 La dépollution intérieure
08:48 De l’esclave humain à l’esclave machine
12:34 Du besoin naturel de se rendre utile
14:42 Du travail à l’activité économique
15:55 Le conditionnement binaire du mental moderne
20:31 Le revenu de base n’est pas une aide sociale
29:25 La désaliénation comme réappropriation multidimensionnelle du temps
32:14 Redonner sens à la vie
37:36 La machine contremaître, stade ultime de l’aliénation
42:11 La fin du concept de travail
48:31 Contributisme et salaire immatériel
51:14 Vers un rééquilibrage multidimensionnel de la vie
58:16 Le revenu de base comme fondement d’une culture de la créativité 59:30 La contribution de la vie sociale à l’innovation dans un contexte non-aliéné
1:02:23 Culture du travail et délitement du lien social
1:04:54 Dépollution intérieure et transition sociétale
1:09:42 La fainéantise est un produit de l’aliénationLire

Un revenu universel équitable et porteur de développement socio-économique

Le Revenu de Base ou Revenu Universel, c’est selon, répond à une problématique considérable qui est la fin du modèle de redistribution de la création de richesse reposant sur le salaire et donc l’emploi, le travail. Ce n’est pas « une aide sociale universelle », c’est un concept socio-économique de développement macro-sociétal visant au contraire à abolir la nécessité d’une aide sociale quelconque en redistribuant à chacun ce qui lui revient de droit par sa contribution à la société.… Lire

La méritocratie : mythe ou réalité ?

Dans notre société occidentale actuelle, on évoque souvent la méritocratie comme un système permettant à tout un chacun de pouvoir s’élever simplement par la bonne volonté et le goût de l’effort de chacun. Autrement dit, plus on travaille dur, plus on a des chances de se sortir de sa situation précaire, pour s’élever et ainsi ne pas avoir besoin de l’aide de l’État pour assurer sa vie.Lire

La révolution numérique impose une horizontalisation du management des entreprises

Si l’automatisation a considérablement amélioré la productivité des entreprises, à tel point d’avoir de moins en moins besoin de main d’œuvre pour produire les biens et les services, elle a aussi bouleversé leur mode de gouvernance. Durant les débuts de la Révolution industrielle, les limites de la technologie imposaient un très grand nombre de salariés pour assister des machines qui ne pouvaient qu’augmenter leur force musculaire.Lire

Une politique occidentale néocolonialiste sur l’Afrique désavantageuse aussi bien pour les africains que pour les occidentaux

Depuis de nombreuses années, le continent africain a toujours suscité la convoitise auprès de nombreuses civilisations, notamment auprès de l’occident. Occident qui dans un premier temps a acheté de la main d’œuvre pour la faire travailler dans les exploitations agricoles du nouveau monde dès le XVIème siècle, dans le cadre du fameux commerce triangulaire.Lire

La mondialisation : une nécessité pour assurer le développement des États

Avec les progrès de la technologie, les échanges dans le monde se sont multipliés. Grâce aux nombreux moyens de transport, il est possible d’acheminer sur de longues distances un nombre incalculable de marchandise. Avec cette possibilité d’échanger, de plus en plus de pays se sont unis pour former des blocs et font ainsi tomber leurs barrières douanières, dans le but de faciliter le commerce.Lire

La dette publique : un boulet pour nos finances publiques. Vraiment ?

Dans la foulée de la crise de 2008, on ne peut s’empêcher de débattre au sujet de l’économie sans évoquer la question épineuse de la dette publique. De nombreux économistes alertent sur les conséquences d’un surendettement de l’État avec cette augmentation des dettes publiques des différends pays occidentaux. Sur les politiques à mettre en œuvre pour palier à ce problème, certains proposent de diminuer la dépense publique pour faire en sorte que l’État n’accroisse pas son endettement de manière excessif.Lire

La guerre : une solution pour venir à bout d’une crise et faire repartir la société sur de nouvelles bases ?

C’est dans ce contexte de crise que nous traversons, que certains évoquent la guerre comme possibilité pour en quelque sorte réinitialiser la société. Cela en références aux périodes fastes qui ont succédé aux conflits mondiaux du XXème siècle. On se souvient de la folie économique des années 1920 qui a succédé à la Première Guerre Mondiale, ainsi que des Trente Glorieuses qui ont succédé à la Seconde Guerre Mondiale.Lire

La consommation de masse : une manière de redistribuer la création de richesse

On évoque souvent de la consommation de masse comme un élément inhérent à notre société capitaliste. Or, il se trouve que cette consommation de masse n’a été qu’un moyen de faire ruisseler l’incroyable création de richesse permise par les progrès de la technologie du XXème siècle. Si cette consommation de masse a été le symbole des Trente Glorieuse, elle avait un seul objectif : donner du travail à un grand nombre de personne.Lire

Les acquis sociaux qui nous coûtent un pognon de dingue. Vraiment ?

On a souvent coutume de dire que les aides sociales coûtent chers et encouragent l’oisiveté. Or, comme le démontre cette vidéo réalisée par des équipes de France Info, la réalité est bien plus nuancée que cela. Ces aides sociales sont en réalité à l’origine de l’incroyable élévation du niveau de vie que l’on connait actuellement.Lire

Les subventions peuvent-elles encore permettre aux entreprises de créer des emplois ?

Depuis les années 1980, l’informatisation a permis d’automatiser de nombreuses tâches répétitives qui jusque-là étaient effectuées par des humains. Les entreprises ont désormais de moins en moins besoin de salariés pour produire les biens et les services. C’est alors que le chômage de masse s’est installé, remettant en question notre mode de redistribution de la création de richesse par les salaires.Lire

Une politique pour l’emploi qui affaiblit les entreprises technologiques françaises

Contrairement à ce qu’on peut croire, la France excelle dans de nombreux domaines, notamment les hautes technologies. Il suffit de voir le nombre croissant d’entreprises du secteur. Que ce soit dans les technologies médicales, les voitures autonomes ou encore l’intelligence artificielle, la French tech est dans tous les domaines. Cependant, on s’aperçoit qu’elle a du mal à émerger face aux géants américains et chinois.Lire

L’automatisation de la production signe-t-elle la fin de l’humanité ?

Certains pensent que l’automatisation de la production de biens et de services avec l’intelligence artificielle faisant fonctionner des robots serait une menace pour l’humanité. En réalité, c’est tout le contraire, cette automatisation va lui permettre de pouvoir enfin se libérer du travail pour qu’elle gagne la place qui lui revient de droit et pour laquelle la nature l’a spécifiquement dotée, celle des penseurs créateurs.Lire