La fin de l’impôt du 20e siècle, place à celui du 21e

Les statistiques officielles démontrent que la classe moyenne paie 33 % d’impôt sur le revenu et les riches 19 %. Comme l’intervenante ajoute certains éléments exogènes tels que la TVA, on arrive aux taux qu’elle indique. Il est pour le moins troublant de constater que ce sont ceux pour qui la pression de l’impôt est la plus insupportable qui en paient le plus et ceux pour qui il est indolore qui en paient le moins.Lire

Le dégrèvement fiscal écologique favorable aux associations

Les plus riches polluent plus que tout le monde, c’est un fait connu et avéré et des appels à l’imposition conformément à leur pollution se multiplient. C’est le cas avec notre vision de l’impôt sur le niveau de vie, ici, ou,  qui pourrait déjà être modulé par un coefficient d’inégalitéLire

Limiter la fraude fiscale, diminuer la pression fiscale et favoriser la mixité sociale

Hernie fiscale.

Notre fiscalité (impôt sur le revenu, impôt sur les grandes fortunes, taxes bizarroïdes plus ou moins absurdes sur à peu près tout et n’importe quoi, etc…) relève d’une accumulation de bidouilles apparues au gré d’une l’Histoire où les hommes ont pris le pouvoir et se sont constitués en États.… Lire

La taxation des robots en compensation de la fin du travail est absurde

Le concept même de taxer les robots est absurde, tout simplement parce que l’automatisation de la société ne signifie pas que les robots vont remplacer l’Homme, mais que la notion de travail va évoluer.

Il ne faut pas imaginer qu’on enlève un, deux, trois, salariés dans une usine et qu’on met un robot à leur place.Lire

L’impôt sur le revenu, né en 1916, obsolète aujourd’hui, cause de l’évasion fiscale

Retronews nous parle de « la difficile naissance de l’impôt sur le revenu », pourtant mesure d’égalité élémentaire au gré de la démocratisation du pouvoir d’achat en conséquence de la révolution industrielle qui apporte un revenu à un nombre croissant de gens. 

Désormais, alors que les paramètres qui induisaient sa pertinence à l’époque n’existent plus aujourd’hui, il est désormais échu et doit être aboli pour rétablir la justice et l’équité fiscale. Lire

Les GAFA peu taxés : la conséquence d’une politique fiscale inadaptée au numérique

Si les GAFA occupent une place prédominante dans le paysage industriel, on remarque depuis de nombreuses années qu’ils ne paient pas leur juste part en impôt. Ils ne paieraient en France que quelques millions d’Euros d’impôts, sur un chiffre d’affaire mondial de plusieurs milliards d’Euros. Et tout cela, grâce à internet qui a grandement facilité l’exploitation des failles de lois élaborées à une époque où cet outil n’existait pas encore.Lire

L’impôt négatif en solution au Revenu de base

La notion de travail va changer radicalement

Avec la révolution du numérique, la notion de travail tel que nous le connaissons va profondément se transformer. Le travail va considérablement s’amoindrir. Non seulement par l’automatisation des systèmes de gestion qui impliquent de moins en moins de main d’œuvre pour gérer des portefeuilles de plus en plus conséquents, aujourd’hui, une petite équipe peut gérer un portefeuille de 10 millions de clients, mais aussi grâce à l’évolution de la production.… Lire

Des riches trop riches au détriment des pauvres. Vraiment ?

On entend souvent cette phrase comme quoi 26 personnes disposent d’autant de richesse que la moitié de la population sur Terre. Et pourtant cette expression ne signifie pas grand-chose. En réalité, ce n’est pas que l’argent des pauvres est dans la poche des riches, mais que l’argent des pauvres n’existe tout simplement pas encore.Lire

Dividendes, investissements, gouvernance, redistribution de richesse

 L’économie se démocratise

L’avenir de l’économie est plus démocratique, plus collaboratif, il repose sur l’intelligence collective et le citoyen devient de facto plus présent dans les décisions sur les investissements d’avenir. Idéalement, le crédit devrait être issu de l’ensemble, qui trace la voie de l’avenir et non pas uniquement de la banque qui finance  l’entrepreneur correspondant à sa vision du marché.… Lire

Pour un coefficient fiscal d’inégalité

Le Directeur Général de SnapChat a gagné 638’000’000$ en 2017 et ça alors que SnapChat a connu des pertes abyssales historiques. On peut vraiment dire qu’il est payé pour faire du mauvais boulot. Je me dis que c’est son problème… à condition que cela ne génère pas d’inégalité. Déjà que ces entreprises du numérique, qui connaissent des valorisations délirantes alors qu’elles sont dépourvues d’actifs, de la vulgaire fausse monnaie, ça risque d’être difficile. Lire