Notre solution

La transition systémique du XXIe siècle implique toute une série de paramètres sociaux, écologiques, scientifiques, philosophiques, technologiques, économiques, constitutifs d’une vision intégrale que porte Courant Constructif. Elle est constituée de l’ensemble des transitions que voici :

 

 

 

La transition énergétique est l’un des piliers de la lutte contre le réchauffement climatique, elle vise à décarboner l’énergie pour avoir une énergie propre et abondante compatible avec la restauration de l’environnement, le rétablissement de la biodiversité, l’épanouissement humain et le développement économique durable. 

 

 

La transition écologique vise à établir une société parfaitement durable qui permette la restauration de l’environnement, le rétablissement de la biodiversité, l’inversion du réchauffement climatique, la dépollution de la planète, du plastique qui l’étouffe, des poubelles qui l’émaillent, des principaux gaz à effet de serre avec l’introduction d’une économie parfaitement circulaire. 

 

 

 

La transition culturelle établit les fondations philosophiques et spirituelles indispensables à une évolution intégrale de la civilisation. Elle élabore un terrain mental favorable à l’évolution, en déjouant les pièges des pensées régressives, en identifiant les résistances sociales, en élaborant un nouveau grand récit constructif de l’avenir, en donnant à voir ce que pourrait être un monde qui aurait surmonté la crise multidimensionnelle de la modernité.

 

 

 

La transition sociétale consiste en la mise en place d’une économie inclusive, plus collaborative, socle de l’intelligence collective, éléments constitutifs de l’économie contributive. Aujourd’hui la société a le sentiment que l’humain sert l’économie, le contributisme, en atteignant tous les niveaux de la société, replace l’humain au centre de l’échiquier, mettant l’économie à sa disposition. Une société plus démocratique, plus équitable,  plus porteuse de sens et plus performante grâce à l’intégration de tous.

 

  • Le financement participatif avec l’AMI
  • La consultation populaire permanente par jugement majoritaire
  • La réorganisation du système de santé (hôpital, télémédecine, e-santé, cabines de soins dans les pharmacies, etc) pour l’adapter au 21ème siècle
  • La transition sociétale de la fin de l’emploi comme socle de la distribution
  • L’assistance à la dépendance et/ou le handicap par la robotique et/ou l’IA
  • L’automatisation
  • Le revenu de base
  • La retraite à 55 ans pour tous
  • L’impôt sur le niveau de vie favorisant la mixité sociale
  • Le quotient fiscal d’inégalité
  • Le financement de nos champions (Navya, Qwant, Easy Mile, Supraways, Carmat, etc…) au même niveau que nos adversaires afin d’occuper le marché mondial
  • Renforcer les positionnements français et européens sur les grands développements stratégiques : énergie renouvelable, robotique, intelligence artificielle, dépollution, espace
  • Le cannabis thérapeutique
  • Un quorum de participation aux votations
  • Le droit au loyer via des certificats en blockchain en lieu et place de la politique des HLM, pour plus de mixité sociale. 
  • Le revenu contributif
  • Le contributisme
  • L’Intelligence artificielle
  • L’économie de marché inclusive
  • La recherche en automatisation des processus industriels
  • L’intelligence collective
  • L’économie collaborative
  • La démocratie
  • La liberté d’initiative
  • L’Union européenne
  • Favoriser les lieux de vie intergénérationnels : colocations intergénérationnelles, immeubles intergénérationnels, quartiers intergénérationnels. Rapprochement des maisons de retraite et des écoles maternelles. Création d’une maison de retraite dans chaque immeuble en dédiant les étages les plus accessibles. 
  • Interdire ou du moins encadrer les conditions à l’exigence de caution solidaire systématique, une pratique franco-française qui est absolument intolérable. 
  • Interdire le refus d’une forme de caution reconnue (Caution de l’Etat, assurance) et qu’en tout état de cause elle soit déposée chez un administrateur légal neutre, aux frais du propriétaire. 
  • Instituer une garantie universelle des loyers. L’Etat se substitue au locataire indélicat sur demande du propriétaire, Ce qui ouvre lieu à une poursuite avec saisie, pour que le locataire soit saisi mensuellement au moins d’une partie du loyer. Car trop de locataires se disent que puisqu’ils ne peuvent pas payer ils ne paient plus rien. Côté propriétaire, il faut rendre obligatoire l’assurance perte de loyer. 
  • Inventer un statut de prête-nom. Qu’un locataire puisse demander à un prête-nom, avec qui il signerait un contrat-type, fourni par l’Etat. Et c’est le prête-nom qui va louer le logement à sa place. Ainsi, si des personnes de couleur ou musulmanes veulent louer, elles trouvent un prête-nom bien français, qui se présente au propriétaire, signe le bail. Et ce sont les personnes qui n’avaient aucune chance d’entrer dans le logement qui y vivent, sans que le propriétaire ne puisse rien faire. Le bail est alors réputé au nom des personnes qui y vivent du moment que le contrat de prête-nom portant le nom des locataires et du signataire existe. La caution légale d’Etat est au nom du prête-nom, le propriétaire peut demander à la transférer sur ses vrais locataires en signant un bail directement avec eux.
  • Créer un permis de louer que le locataire pourra exiger. Il ne s’agit pas là de faire respecter la loi sur la salubrité, mais que le permis de louer établisse la valeur du logement par rapport à un indice local de référence.
  • Remettre à plat les APL. Pas d’APL au locataire qui entre dans le logement. Si le prix est trop cher, il ne peut pas louer et le logement reste vide, tant pis pour le propriétaire, surtout si on crée une surtaxe foncière sur l’habitat vide en zone tendue (qui pourrait servir à défiscaliser en zone non tendue pour permettre de baisser le loyer et faciliter ainsi l’exode citadin). Et les APL ne sont versées que le temps du crédit, une fois le crédit terminé, le propriétaire doit baisser son loyer d’autant que les APL reçues par son locataire. C’est simple à comprendre, tant que court le crédit, disons 800 € par mois, le propriétaire loue à 1200 €, il a 400 € de marge. Le locataire reçoit 200 € d’APL. Qui sont justifiés, parce qu’à 1000 € le logement ne serait pas rentable. Mais une fois le crédit terminé, rien ne justifie que le propriétaire maintienne le loyer à 1200 €, où là il empoche carrément la totalité de la somme des APL, qui sont un véritable appel à monter les loyers. Alors à ce moment-là il descend le loyer de 200 €, ainsi le locataire paie toujours 1000 € et le propriétaire ne perd rien puisque le logement est de toute façon payé.
  • Instaurer une fiscalité foncière progressive proportionnelle au loyer en regard du marché local. Plus le loyer est bon marché par rapport à l’indice local de référence et moins le propriétaire paie d’impôt foncier. L’impôt foncier est l’impôt le plus équitable qui soit, parce qu’il vise à « indemniser » l’ensemble pour l’accaparement d’une surface de territoire par un propriétaire à son usage exclusif, rendue donc indisponible pour l’ensemble de la société. Le territoire est un bien commun que l’impôt foncier permet de partager. Il est normal que plus cet usage est exclusif plus l’impôt est fort et plus il est contributif à l’avantage de tous et plus l’impôt est bas.
  • Dépénalisation de toutes les drogues (et non pas légalisation, les drogues restent illégales), sur le modèle du Portugal, de façon à mettre fin au trafic et à la criminalité qui y est afférente en les rendant non rentables. En complément de la considération des consommateurs comme des patients qui ont besoin de soins plutôt que d’être considérés comme des criminels. Ceci dans l’objectif ultime de faire enfin reculer la drogue en réallouant les moyens colossaux de l’inefficace lutte contre le trafic à des fins plus humaines et plus performantes.
  • Conditionner les aides gouvernementales à l’information au nombre de journalistes (ou auteurs) qualifiés pour une information réelle et non pas faite de simple contenu.
  • Remplacer le système actuel de financement des partis par une distribution d’une somme de 200€ par électeur attribuable à n’importe quelle formation couplé à une interdiction des dons, seuls les prêts demeurent autorisés à concurrence du montant maximum des campagnes. De façon à supprimer la corruption et le trafic d’influence par les dons au travers de prête-noms. 

 

 

La transition agroécologique introduit une nouvelle agriculture favorable à l’humain, capable de se passer des pesticides comme du labourage, ce qui permet d’avoir des machines plus raisonnables qui peuvent être électriques. Une agriculture qui restaure les sols érodés et les dépollue, développe les productions biologiques plus saines. Avec un concept porté par Courant Constructif qui la rend écologique, plus passionnante, plus confortable, plus rentable, plus diversifiée, pour intéresser les jeunes dans des métiers fantastiques dévalorisés aujourd’hui par l’agriculture intensive, fastidieuse, harassante, peu rentable, polluante.

 

 

 

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