« Je ne pleure pas la fin de notre monde, je l’attends avec une impatience grandissante même si je ne suis pas encore tout à fait prête. A 48 ans, je sais que je n’ai jamais aimé notre monde, du plus loin que je me rappelle ce n’était pas pour moi.
Courant Constructif, un monde à notre portée
« Je ne pleure pas la fin de notre monde, je l’attends avec une impatience grandissante même si je ne suis pas encore tout à fait prête. A 48 ans, je sais que je n’ai jamais aimé notre monde, du plus loin que je me rappelle ce n’était pas pour moi.