— L’individu
En 100 ans l’immense majorité est passée d’une population fruste et inculte au pouvoir d’achat pratiquement nul, à une population qui vote, dont l’espérance de vie a doublé, Dont les capacités cognitives de chacun ont explosé faisant que, désormais, c’est dans le peuple lui-même que se trouve la richesse pour l’avenir.
— Gaspillage
Depuis des décennies le monde politique lutte contre le chômage, dilapidant des sommes incommensurables dans des « investissements d’avenir », des « politiques de relance », des « accompagnement au retour à l’emploi »… mais le chômage et la paupérisation gagnent avec la baisse constante de la qualité de l’emploi et le désespoir du désœuvrement qui grandit au sein de la société en corollaire.
— Dette
Ainsi, nous voilà avec une inégalité insupportable, le fossé riches-pauvres s’est creusé ainsi qu’une dette gigantesque, dans un seul but : combattre le chômage qui, ne peut que se développer encore avec l’automation de la quatrième révolution industrielle dans laquelle nous entrons alors même que nous ne nous sommes pas encore adaptés à la troisième qui se termine et que la cinquième s’avance déjà sur le chemin. Et ce alors que depuis l’aube des temps la société n’a eu de cesse de tenter de se débarrasser de la contrainte du travail humain, incontournable en l’absence de technologies susceptibles de permettre d’y pallier.
— Opportunité
Pour la première fois dans l’histoire l’opportunité est offerte à l’humanité d’envisager autre chose. Ce progrès, loin de faire notre malheur, fera notre bonheur si nous l’apprivoisons au lieu de le rejeter. Il brisera nombre de chaines aliénant notre condition. Il nous appartient de le comprendre et de réaliser la transition sociétale qui lui correspond.